AMIDA DIGITREND 2.0 Trois nouvelles versions, dès février !

Amida Digitrend était une (re) découverte assez marquante de l’année 2024. Nous avions alors le plaisir d’en parler avec Laurent Piciotto, pour qui les formes et les années de ces objets dingues sont une grande source d’inspiration et de plaisir. Très récemment, nous avons pu découvrir des nouvelles versions Steel, Black and Gold Edition. Le moment pour nous de revenir sur cette pièce que nous adorons et son histoire qui nous fait voyager dans une autre époque.

Revenons un instant sur l’histoire (presque) récente de ces montres formidables. Si la marque s’est engouffrée entière dans les années 1970 et avec succès, mais elle n’en était pas à son coup d’essai. Au début des années 1920 déjà, on trouve le nom AMIDA comme étant une marque déposée d’une manufacture d’horlogerie. En regardant en détails les montres produites et proposées alors derrière ce nom, on trouve des montres dans le genre classique suivant les périodes et les styles, toujours avec une idée de simplicité et de pièces accessibles en prix, notamment avec les célèbre calibres bon marché Roskopf.

Ce sont bien les AMIDA Digital qui sortiront la marque du quotidien au tout début des années 1970 en proposant des affichages sympathiques par disques dans des formes qui le sont tout autant, et avec des cadrans dont les couleurs (et même les boitiers) peuvent peuvent provoquer des sensations folles.

Puis, en parcourant les pages d’Europa Star et en arrivant au milieu des années 1970, on trouve une pièce qui fait la différence. L’heure, on ne pourra pas la lire de manière classique, et la naissance de cette AMIDA, comme la Girard-Perregaux que nous avons tous en tête à la même époque et avec un affichage LED, marquera la famille des montres “casquette”. D’ailleurs, cette AMIDA porte le petit nom de LRD pour “Light Reflecting Display”, faisant référence à la façon dont l’affichage de l’heure nous parvient par le biais d’une glace spécialement conçue. Ce qui a d’ailleurs été le principal défi dans la production de ces nouvelles AMIDA.

Amida Digitrend Black Edition

Pour ces nouvelles éditions, on trouve trois nouveautés. Une version “Steel” en acier (qui n’est pas similaire en tous points à la version “take-off” que je vous présentais en 2024), une version “Gold” en acier avec revêtement PVD or jaune et enfin une “Black” avec boitier acier revêtement DLC noir. Dans les trois versions, on trouve toujours cette belle finition brossée marquée, signature de la “casquette”, et qui offre cette idée de vitesse. Les dimensions restent inchangées avec une largeur de 39 mm, une longueur de 36 mm et en épaisseur de 15.6 mm. En résumé, il faut garder à l’esprit que la montre est plutôt bien présente au poignet, physiquement comme visuellement, mais n’en reste pas moins très agréable à porter.

Le module d’affichage de l’heure et des minutes par disques et index oranges est associé au fiable mouvement Soprod Newton P092 à remontage automatique délivrant 44 heures de réserve de marche. Calibre dont vous pourrez observer les mouvement de l’oscillateur au dos de la pièce à travers une ouverture et une glace saphir. C’est ici la principale innovation par rapport à l’édition “take-off” de 2024, l’ouverture qui auparavant était petite et le fond recevant des gravures très spatiales, ici l’ouverture est bien plus grande, tout en prenant en compte la forme du balancier, et le fond plus sobre. Ce qui ne nous déplait pas !

Amida Digitrend Gold Edition

Je dois avouer que ces versions complètent bien la proposition “classique” de l’acier. Quand on pense à tout l’aspect “futuriste” que pouvait avoir la Digitrend (alors appelée DIGITAL) dans les années 1970, évoquant la vitesse et l’espace, l’ajout d’une version Gold, et surtout d’une version Black, permet d’insister et renforcer ces côtés qui font s’évader l’esprit.

Ces nouvelles AMIDA Digitrend seront livrées à la mi-février, déjà en précommande à partir de 3500€ sur le site d’AMIDA avec au choix le bracelet alcantara ou le bracelet acier dans la même teinte de revêtement que le boitier (évidemment). Pour les amateurs de pièces d’exception, les montres seront aussi disponibles à la mi-février dans la boutique CHRONOPASSION du 271 rue Saint-Honoré chez notre cher Laurent Picciotto. Toujours une bonne excuse pour aller faire un tour dans une boutique que nous apprécions tout particulièrement, qui a depuis le milieu des années 1990 toujours mis en avant des montres aux dessins hors du temps.

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